Ce matin la conférence des bourgmestres de Charleroi Métropole, l’ASBL MobileSem et le ministre de la mobilité Philippe Henry (Ecolo) ont signé une convention visant à créer la « Centrale Locale de Mobilité de Charleroi Métropole ». Un partenariat qui permet à toutes les communes de la région de bénéficier de services en matière de mobilité douce. C’état aussi l’occasion de faire le pont sur les nombreuses pistes cyclables qui fleurissent dans le centre-ville de Charleroi depuis le mise en application de la zone 30 dans l’intraring.
Une centrale locale de mobilité à Charleroi Métropole, c’est quoi ? Concrètement la mise en place de ce partenariat entre Charleroi Métropole, l’ASBL MobileSem et Philippe Henry va permettre aux citoyens d’accéder à une information coordonnée sur les offres en matière de transport, cela va permettre de créer des itinéraires personnalisés à la demande pour les citoyens. Tout ça est évidemment bien utile en ce moment.
Un numéro de téléphone, le 0800/15.230 sera à disposition des citoyens qui souhaitent en profiter. Pour l’instant quelques communes ont décidé d’y adhérer. Pour ce qui est de Charleroi, ce sera pour bientôt !
C’était également l’occasion de faire le point sur la mobilité à Charleroi. L’échevin (habitué au parcours en vélo) et Philippe Henry se sont baladés dans le centre-ville pour y découvrir les nouveaux aménagements. Des aménagements que les autres villes pourront aussi adapter. Une chose est sûre, le confinement a permis de changer les habitudes des citoyens, il va donc falloir s’adapter.
Sur le même sujet
Recommandations
La SNCB annonce des trains supplémentaires dans le Hainaut
Charleroi: Découvrez la liste des radars prévus la semaine du 1 décembre
Grève nationale : TEC: le trafic perturbé partout en Wallonie, Liège et le Hainaut les plus touchés
Les mesures de circulation et de stationnement pour les concerts de Ninho et Dadju au Dôme
Charleroi: Découvrez la liste des radars prévus la semaine du 24 novembre
Le métro carolo est en travaux: Découvrez les impacts sur le trafic
Malgré la progression du vélo, le Belge ne lâche pas son volant