Le 9 janvier dernier, Maëlle, 17 ans, décédait suite à un choc toxique suite à l’utilisation d’un tampon hygiénique. Comme ça avait été le cas, de Julia, une jeune couilettoise, il y a seulement un an et demi. Les mamans des deux jeunes filles avaient demandé qu’une meilleure information soit donnée sur ce choc toxique qui reste encore trop méconnu.
Divers parlementaires ont interpellé les ministres compétents. A la Fédération Wallonie-Bruxelles, le débat a été lancé par Nicolas Tzanetatos (MR) et Sophie Pécriaux (PS). La ministre régionale de la santé, Bénédicte Linard (Ecolo) a admis que le syndrome du choc toxique était encore trop peu connu. Les deux députés ont demandé qu’on informe mieux les jeunes filles. Au Fédéral, Latifa Gahouchi (PS) a aussi mis cette problématique en avant au Sénat, comme Laurence Hennuy (Ecolo) à la Chambre.
Sur le même sujet
Recommandations
CHU Charleroi-Chimay : une formation pour réagir aux attaques terroristes
Maladie de la langue bleue : Pour 2026, les autorités recommandent de vacciner mais ne subventionnent plus
Journée mondiale de lutte contre le sida : « On peut l’éviter »
Deux Belges sur trois continuent à travailler alors qu'ils sont malades
La fin du brevet infirmier relance les tensions dans le secteur
La commune de Courcelles a déjà détruit plus de 100 nids de frelons asiatiques en 2025
Coppieters juge l'objectif sur les malades de longue durée atteignable pour la Wallonie
Le radon, un ennemi invisible dans votre maison
La mucoviscidose: une maladie mal connue, mais aux conséquences multiples
Petite enfance : moins de moyens pour les crèches et une pénurie de places qui persiste
Délais des tests du sommeil en Wallonie : Caroline Taquin a alerté Franck Vandenbroucke