Alors qu’enfle une polémique autour des implants (certains dispositifs médicaux implantés dans le corps ne feraient pas l’objet de contrôles suffisamment rigoureux avant d’être mis sur le marché), TEXERE Biotech, une société de biotechnologie wallonne spécialisée dans le traitement des tissus humains, devrait rassurer patients et chirurgiens.
Elle inaugure aujourd’hui en région de Charleroi la première ligne complètement robotisée et la plus avancée au monde pour la production de greffons osseux!
Le procédé TEXERE (assimilé à la nouvelle industrie dite 4.0), augmente le recyclage du tissu d’un facteur 2 à 3 par rapport aux technologies actuelles, tout en garantissant une qualité et une sécurité médicale optimale du produit final.
L’os est le deuxième tissu le plus transplanté après le sang, et garantir son accès pour les greffes est d’une importance capitale pour les patients.
Les problèmes musculo-squelettiques sont le deuxième plus important facteur handicapant la vie et la productivité de 20 à 30% de la population mondiale. Ils sont en hausse continue, notamment avec le vieillissement de la population.


Sur le même sujet
Recommandations
Le nombre d'accidents liés à l'alcool double en Wallonie durant les fêtes, rappelle l'AWSR
CHU Charleroi-Chimay : une formation pour réagir aux attaques terroristes
Maladie de la langue bleue : Pour 2026, les autorités recommandent de vacciner mais ne subventionnent plus
Journée mondiale de lutte contre le sida : « On peut l’éviter »
Deux Belges sur trois continuent à travailler alors qu'ils sont malades
La fin du brevet infirmier relance les tensions dans le secteur
Coppieters juge l'objectif sur les malades de longue durée atteignable pour la Wallonie
Le radon, un ennemi invisible dans votre maison
La mucoviscidose: une maladie mal connue, mais aux conséquences multiples
Petite enfance : moins de moyens pour les crèches et une pénurie de places qui persiste
Délais des tests du sommeil en Wallonie : Caroline Taquin a alerté Franck Vandenbroucke
Un espace de mémoire et d'humanité au Grand Hôpital de Charleroi