Pour cette nouvelle année, le Musée de la Photographie démarre en beauté avec une programmation renouvelée. Cinq expositions, aussi variées qu’inspirantes, sont dès à présent accessibles au public, offrant un voyage à travers le temps et l’espace.
Parmi elles, une immersion dans l’effervescence des années 1920 entre Bruxelles et Berlin avec le Studio Stone. Ce studio emblématique est le fruit d’une collaboration entre l’artiste belge Camille Schammelhout et un photographe russe. À leur époque, ils étaient reconnus comme les maîtres de la photographie, capturant l’esprit d’une ère en pleine mutation.
Changement d’ambiance avec Lucie Pastureau, photographe française et collaboratrice du journal Le Monde. Son exposition, intitulée Elle se fera caresse, dévoile un regard tout en douceur et en intimité sur son art.
Enfin, direction l’Amérique latine avec Jean-Marc Wull. Son travail prend racine dans la découverte inattendue d’une boîte de négatifs en l’an 2000. Cette trouvaille l’a mené sur les traces d’une histoire fascinante qu’il partage aujourd’hui à travers ses clichés.
En tout, ce sont cinq expositions et autant d’artistes à découvrir, chacun apportant une vision singulière de la photographie. Le public a jusqu’au 18 mai 2025 pour explorer ces univers captivants et plonger dans l’art de l’image.
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